LA BIBLE EST COMPLÈTE AVEC SES 66 LIVRES CANONIQUES, IL N’Y A RIEN À RAJOUTER !

Publié le par Formation Biblique pour Tous.over-blog.com

LA BIBLE EST COMPLÈTE AVEC SES 66 LIVRES CANONIQUES,

IL N’Y A RIEN À RAJOUTER !

« Puisque la voix du Berger est indubitablement discernable par Ses brebis, il s’ensuit qu’il y aura une adoption visible du canon dans l’histoire de l’église. C’est exactement ce que l’on observe » (thecripplegate.com).

Celui qui cherche la Vérité hors des 66 livres inspirés par la Rouakh HaKodesh (l’Esprit Saint) de Vérité, et reconnus par la Véritable Kéhillah (Eglise), s’égare

La Véritable Kéhillah (Église) est composée uniquement de personnes régénérées. Les croyants nés de nouveau mûrs connaissent la Voix et la Parole de leur Berger Yéshoua (Jésus) – écrites dans les Livres Canoniques qui ont reçu le Souffle de Son Esprit. Ils ne suivent pas la voix des étrangers au Troupeau D’Élohim (Dieu) – Psaume 95 :7 ; Jean 10 :4-5 ; 2Timothée 3 :16. Les croyants Evangéliques ont toujours veillé à ce que l’Autorité Souveraine en matière de Foi et de Vie Spirituelle ne soit tirée que des 66 Livres Inspirés par Dieu. Il faut se méfier des livres dit apocryphes (du grec ἀπόκρυφος / apókryphos, « cachés », non authentiques, faux, douteux…). Les croyants nés de nouveau ne tiennent pas ces livres pour canoniques (conformes aux exigences, règles, normes d’Écrits Sacrées édictées par L’ÉTERNEL LUI-MÊME). L’authenticité de ces livres est douteuse est non établie. Certaines personnes, mal formées et mal informées, d’esprit faible et borné, ne voulant pas obéir aux Enseignements des 66 Livres Canoniques, font appel à d’autres livres (non inspirés, dont les apocryphes) ; croyant y puiser des sagesses ou connaissance cachées. Elles ont tort ! Leur insatisfaction vis-à-vis du Canon Sacré ne vient pas de Dieu, mais de la nature purement humaine chargée de péchés et de doctrines et d’influence de démons.

Il est hallucinant de voir comment les gens tentent d’attirer l’attention sur eux en répandant des FAKE NEWS et des idées farfelues

Plutôt que de fournir des preuves factuelles, les gens ont commencé à écrire de nombreux ‘romans de fiction’, et ils déclarent que leurs rêves, spéculations et conclusion sont basés sur des faits. Mais, s’il y a des erreurs historiques, personne ne peut contester ces écrits car ils ont a été présentés comme de la fiction. « C’est certainement vrai quand on parle du Da Vinci Code. Le livre se déclare être un roman de fiction, mais pose certaines suppositions comme s’il s’agissait de faits. L’une de ces suppositions est que l’église a supprimé certains livres bibliques et informations concernant Jésus. À la lumière de telles accusations, il est d’autant plus important pour nous de déterminer qui a pris la décision sur ce qui est devenu Écriture et ce qui ne l’est pas » (thecripplegate.com). Comme l’a dit un fameux prédicateur, « point n’est besoin de prendre la défense d’un lion, il suffit de le laisser se défendre tout seul. La Bible se passe aisément de défenseurs. Mais plus d’un…serait fortifié et sa joie multipliée s’il connaissait mieux l’inébranlable rocher que Dieu lui a donné pour y asseoir sa foi » (Arthur Gook, « Un jeune homme peut-il se fier à la Bible ? »).

La Bible est la Parole Inspirée d’Élohim, l’Unique et l’Infaillible Règle de la Foi

Si nous parlons de l’Inspiration et de l’Autorité Souveraine de la Bible, c’est que c’est la Rouakh HaKodesh (l’Esprit Saint) Lui-Même qui a guidé les Conducteurs spirituels et les croyants Hébreux & Messianiques dans le choix des livres qui feraient partie du Canon Biblique. « Canon », du grec κανών kanōn, signifie « règle » ou « bâton de mesure ». Ce mot « canon » est utilisé pour la première fois par David Rhune (18ème s). De manière générale, un Kanōn est défini comme 1) un roseau, une baguette ; une règle, une norme ; 2) une décision autorisée d’un « concile ecclésiastique », d’un Beth Din (Tribunal Religieux… ; 3) par rapport à la Bible, il s’agit des livres qui ont été mesurés, trouvés satisfaisants et approuvés (par des personnes remplies de l’Esprit) comme étant inspirés d’Élohim. On parle donc de livres qui sont dignes de faire partie de cette Bibliothèque Extraordinaire qui est LA BIBLE. LA PAROLE ECRITE D’ELOHIM. Des livres Inspirés par la Rouakh Elohim (L’Esprit de Dieu). Des livres qui ont reçu le Souffle Divin (2Timothée 3 :16). L’Esprit Saint (Souffle d’Inspiration…) est le Véritable Auteur de la Bible. Il est donc question de Canonicité Biblique.

Trois mots clé pour la Canonicité :

  1. Authenticité.
  2. Crédibilité.
  3. Canonicité.

« L’Authenticité d’un livre de la Bible est basée sur le fait qu’il a été écrit par un écrivain auquel la tradition ancienne l’attribue dans la période que lui attribue la tradition »

Un livre est faux ou apocryphe s’il n’a pas été écrit par l’auteur attribué ou dans la période attribuée. Les propos des ennemis de la Foi affirmant que le Canon Biblique a été fixé par le concile de Yabneh (« AT ») , le concile de Nicée (« NT »), l’empereur Constantin (« NT »)… sont des mythes. Les pseudo-érudits apostats, ennemis de Yéshoua, entretiennent par leurs fabulations, ces « fictions fabuleuses ». Ces phantasmes trouvent un grand écho parmi les ennemis de la « Foi transmise aux saints une fois pour toute » (Jude 3). Ces énergumènes bricoleurs popularisent à leur tour ces mensonges parmi les gens faibles d’esprit et analphabètes bibliques qui ignorent et l’histoire de la Bible et l’histoire de l’Eglise.

Personne n’a déterminé le canon si ce n’est le Saint Esprit

Ne confondons pas « détermination du canon et reconnaissance du Canon ». Les catholiques romains, malgré leurs affirmations, n’ont pas déterminé ni protégé le Canon. En fait, ils ont ajouté des livres qui ne sont clairement pas inspirés. Les Disciples de Yéshoua n’ont pas supprimé certains livres parce qu’ils étaient indésirables. Au contraire, les livres ont été rejetés parce qu’ils montraient des preuves évidentes d’un manque d’inspiration. « Il n’y a jamais eu un moment dans l’histoire où un groupe de personnes s’est réuni dans le but délibéré de déterminer le canon » (wpbcc). Cela a été avancé par des érudits libéraux véreux, mais cela est faux et ne peut tout simplement pas être prouvé. 

Quel a été le rôle des conciles religieux ?

►1er mythe « debunked » (démenti & détricoté) : Les propos fallacieux affirmant que le Canon des Ecritures Hébraïques (« AT »)   a été fixé par le concile de Yabneh (90 de notre ère) est pure illusion

Canonisation des Ecritures Hébraïques (« AT ») au « concile de Yavneh » ?  Cette théorie populaire a été contesté par les spécialistes en la matière. Elle est «debunked » (détricotée). Cette théorie a été contestée et bien réfutée. En l’an 90 de notre ère, un « conseil de rabbins » se serait réuni à Jamnia, pour… ???. Les faux spécialistes de la Bible libéraux émettent l’hypothèse que ces rabbins se sont réunis pour déterminer quels livres seraient inclus dans le canon hébreu et lesquels ne le seraient pas. Mais ce n’est pas du tout vrai sur le plan historique. Les chercheurs sérieux ont démenti cette théorie illusoire. « Le but premier du rassemblement de ces rabbins était d’analyser les livres qui étaient déjà considérés comme canoniques, pas d’ajouter des livres qui n’étaient pas canoniques. En fin de compte, les rabbins étaient d’accord avec le canon hébreu établi de longue date » (wpbcc). Le concile de Jamnia (Jabneh) du 1er siècle est le lieu où les limites du canon juif auraient été finalisées. Ce canon rejette les Apocryphes [certes]…. Les érudits plus sérieux et qualifiés en la matière, nous font savoir que « Cependant, l’hypothèse de l’existence même du concile [en tant que tel] n’a été suggéré pour la première fois qu’au milieu du 18ème siècle sur la base de déductions provenant de sources antérieures. Il n’y a aucune preuve claire que des dirigeants juifs aient tenu un concile spécifique où le canon de l’AT a été réglé une fois pour toutes » (gotquestions.com).

La théorie d’un « concile sur le canon biblique à Yavneh est aujourd’hui largement contestée, discréditée,  et réfutée : DEBUNKED !!!

« ‘Le concile ‘ de Jamnia (vraisemblablement Yavneh en Terre Sainte) était un concile prétendument tenu à la fin du 1er siècle de notre ère pour finaliser le canon de la Bible hébraïque.  On a également émis l’hypothèse que c’était l’occasion où les autorités juives ont décidé d’exclure les croyants en Jésus en tant que Messie de la fréquentation de la synagogue, comme le font les interprétations de Jean 9:22 dans le Nouveau Testament.  L’écriture de la bénédiction Birkat haMinim est attribuée à Shmuel ha-Katan lors du supposé concile de Jamnia. La théorie d’un concile de Jamnia qui a finalisé le canon, proposée pour la première fois par Heinrich Graetz en 1871,[5] a été populaire pendant une grande partie du 20ème siècle. Cependant, elle a été de plus en plus remise en question à partir des années 1960, et la théorie a été largement discréditée» (W). Cette théorie populaire a été contesté par les spécialistes en la matière. Elle est debunked. Cette théorie a été contesté et bien réfutée. Dans un  écrit intitulé « What Do We Mean by Jabneh ? », Jack P. Lewis critique, démonte et détricote cette croyance Populaire. 

Un « concile canonique à Yabneh » est donc bien à remettre en question et entre guillemets [«»]

« Les sources juives contiennent des échos de débats sur les livres bibliques, mais la canonicité n’était pas le problème et le débat n’était pas lié à Yabneh... De plus, la discussion canonique spécifique à Yabneh n’est attestée que pour les Chroniques et le Cantique des Cantiques. Les deux ont circulé avant Yabneh. Il y eut un débat vigoureux entre Beth Shammaï et Beth Hillel sur le livre des chroniques et le livre des Cantiques.... Aucun livre n’est jamais mentionné dans les sources comme étant exclu du canon de Yabneh. (Albert C. Sundberg Jr.) « Le concept du concile de Jamnia est une hypothèse pour expliquer la canonisation des Écrits… [Mais], Ces débats en cours suggèrent le manque de preuves sur lesquelles repose l’hypothèse du concile de Jamnia… et devrait être reléguée dans les limbes d’hypothèses non établies. Il ne devrait pas être considéré comme un consensus établi par la simple répétition d’affirmations » (« La période Jamnia dans l’histoire juive », W. M. Christie). Il est « probablement imprudent de parler comme s’il y avait eu un concile ou un synode de Jamnia qui fixait les limites du canon de l’Ancien Testament » (F. F. Bruce, spécialiste bibliste). 

Les 24 livres du canon hébreux correspondent exactement aux « 39 livres » du canon grec

L’historien du 1er s. Josèphe reconnait 22 livres (rouleaux) selon un des premiers agencement hébreu - l’Apocalypse d’Esdras (vers 100 ap. J.C.) en connait 24.  Josèphe comptant Ruth avec les Juges et Lamentations avec Jérémie, il y a  une concordance parfaite.  Les 24 livres du canon hébreux correspondent exactement aux « 39 livres du canon grec. Dans un ordre diffétent, certes, mais ce sont les mêmes textes. Samuel, Rois, Chroniques, Esdras -Néhémie, les 12 petits prophètes étaient classés comme un livre unique dans le canon hébreu. Selon la liste hébraiques. Les livres de « l’AT » sont cités dans le « NT » pour la plupart. Conclusion : le canon de « l’AT » utilisé par Yéshoua est identique à celui utilisé par les Juifs et que l’historien Josèphe connaissait. Les deutérocanoniques (apocryphes) ont été ajoutés au canon grec, mais ils étaient exclus de la liste hébraïque à l’époque des Apôtres. Ils ne faisaient pas autorité. Les Apôtres ne les ont jamais cité comme faisant autorité. C’est bien plus tard que certains dans la chrétienté paganisée vont leur accorder une certaine importance, mais « là où le texte hébreu fait autorité, les apocryphes ne seront pas admis comme écrits canoniques » (La Bible Déchiffrée, Editions, L.L.B..)

Le Canon des Ecritures Hébraïques avait été défini par l’Esprit Saint avant « l’ère chrétienne », bien avant « Yavneh »

« Le canon de l’Ancien Testament avait été compris pendant un certain temps avant le premier siècle. Les Juifs étaient très méticuleux sur la préservation et l’étude des écrits inspirés. Les écrits hébreux se terminaient par Malachie, tout comme notre canon de l’Ancien Testament se terminait également par Malachie » (wpbcc). Le Canon des Ecritures Hébraïques a donc été « confirmé »  par les Juifs de Terre Sainte vers l’ère chrétienne. Il est conservé par les Juifs modernes et les protestants. Ils ne contiennent que les livres hébreux.

Tous les 39 livres des Ecritures Hébraïques (correspondant aux 24 « rouleaux » selon la classification hébraïques) sont authentiques

Les 39 livres des Ecritures Hébraïques (« Ancien Testament ») sont non seulement authentiques, mais aussi dignes de confiance. La canonisation des Ecritures Hébraïques s’est confirmée durant les « années de silence  intertestamentaire», entre Malachie et la naissance de Yéshoua. La tradition juive dit donc, qu’aux temps de Néhémie, Aggée, Zacharie, et Malachie, un « concile de 120 » a été formé avec Esdras comme son président pour restaurer l’adoration et la vie religieuse, après le retour de l’exile de Babylone. La collection finale des livres des Ecritures Hébraïques a été faite par Esdras et les membres de la « Grande Synagogue » au 5ème  siècle avant notre ère. Ces conducteurs ou leurs successeurs ont compilé tous les livres transmis aux Israélites depuis 1500 ans. L’historien Josèphe (du 1er s. de notre ère) mentionnent 22 livres que les Hébreux croyaient divinement inspirés et il en donne la liste. Remarquons que pour certains le canon hébreu a été établi pendant la dynastie hasmonéenne (140-40 avant notre ère). Les apocryphes, bien qu’inclus dans la version des Septante, n’ont jamais été acceptés dans le Canon Hébreu. Aucun autre livre n’a été écrit et inscrit dans le Canon depuis Esdras. Plus de 600 citations des Ecritures, de la Loi et des prophètes…  par notre Seigneur et les Apôtres montrent qu’ils approuvaient ce canon (Luc 24 :24…).

Les mythes ont la peau et la tête dures, donc la question revient encore : Et les Conciles dans le Canon du « NT » ?

►2ème mythe « debunked » (démenti & détricoté) : Les propos des bricoleurs incrédules affirmant que le Canon du « Nouveau Testament » a été fixé par le concile de Nicée (325 de notre ère), est une légende qui a été démystifiée

« … le canon avait été fixé et était en usage dans les églises particulières bien avant qu’un concile ne se prononce sur lui. La liste des livres reconnus par le concile de Laodicée (363 ap. J.C. et celle « approuvée » au concile de Carthage (397 ap. J.C.) sont identiques à notre Nouveau Testament - à part l’Apocalypse pour la 1ère . « Il est clair que le canon du Nouveau Testament n’a pas été le résultat de déclarations ecclésiastiques mais qu’il s’est constitué, accordé aux nécessités de l’Eglise. Le facteur essentiel qui a guidé le choix a été ‘l’apostolicité’ - la conviction que les livres présentés étaient les positions de l’âge apostolique » (J.H. Alexander). Le Concile de Nicée et le Canon du « NT » ??? « Il n’y a tout simplement aucune trace du Concile de Nicée discutant du canon biblique. Le sujet du conseil était de déterminer la relation entre Le Père et le Fils . Un mythe, une croyance populaire aujourd’hui est que le canon du Nouveau Testament a été déterminé par Constantin et Nicée. Cette croyance a été popularisée par le livre de fiction, « The Da Vinci Code » de Dan Brown. Cependant, cette croyance est absolument fausse » (Reformedwiki.com). Non, Nicée n’a pas créé le canon. Ce n'est absolument pas le cas. Nicée n'a pas abordé la question du canon biblique. Le canon biblique ne figure absolument pas à « l’ordre du jour ».

Et Constantin ??? Constantin a-t-il pris la décision  « que tel ou tel livre appartenait à la Bible ? ».

L’affirmation mensongère qu’on entend aujourd’hui et que c’est l’empereur Constantin qui a déterminé le Canon du Nouveau Testament.

►3ème  mythe « debunked » (démenti & détricoté) : Les propos fictifs des ennemis de la Foi affirmant que le Canon a été défini par l’empereur Constantin … sont purs phantasmes

Rejetez avec la plus grande énergie les légendes qui concernent l’origine et la transmission des textes bibliques

Un mythe qui se répand de nos jours comme une trainée de poudre est l’affirmation mensongère selon laquelle le canon biblique a été déterminé par l’empereur romain Constantin. Ils disent : « La Bible, telle que nous la connaissons aujourd’hui, a été rassemblée par l’empereur romain païen Constantin le Grand ». Mais, « Le mythe selon lequel Constantin a chargé le concile de Nicée de déterminer le canon provient d’une histoire provenant d’une source pseudo-historique anonyme datant d’environ 887 après JC, plus de cinq cents ans après le concile de Nicée, appelé le Synodicon Vetus avec des légendes . Une de ces anecdotes est qu’au concile de Nicée, les évêques ont empilé tous les livres qui étaient candidats au canon sur l’autel, puis ont prié pour que les livres canoniques inspirés finissent en haut et que les livres non canoniques tombent au fond » (Reformedwiki.com). Voltaire, le philosophe français a contribué à diffuser cette fiction. « Il a cru l’histoire manifestement fausse du Synodicon Vetus  et a répété cette histoire dans plusieurs de ses écrits » (Reformedwiki.com). L’œuvre de fiction Le Da Vinci Code y a aussi beaucoup contribué. « Plus de quatre-vingts évangiles ont été envisagés pour le Nouveau Testament, et pourtant seulement quelques-uns ont été choisis pour être inclus – Matthieu, Marc, Luc et Jean parmi eux. » (Reformedwiki.com). L’origine du mythe selon lequel le canon a été déterminé par Constantin est donc le Synodicon Vetus . « Le best-seller de Dan Brown en 2003, The Da Vinci Code, a implanté cette idée dans notre culture, et beaucoup pensent [de manière erronée] maintenant que Constantin ou Nicée ont établi la Bible. Non, Nicée n’a pas créé le canon. Ce n'est pas le cas. Nicée n'a pas abordé la question du Canon Biblique. Le canon biblique n'y figure pas.

La croyance comme quoi le canon a été déterminé par Constantin est donc pur mythologie

Fake news propagée par le Da Vinci Code, Voltaire….. L’origine réelle du canon est la reconnaissance de l’Eglise guidée par l’Esprit Saint. Le Canon n’a nullement été non déterminée par Constantin ou Nicée. « Les livres du canon s’auto-attestent en raison de leur cohérence externe et interne. En d’autres termes, contrairement aux livres qui ne font pas partie du canon biblique, les livres canoniques sont historiquement exacts et théologiquement cohérents. il n’y a aucune référence au canon de l’Écriture » (wpbcc). Athanase a assisté en tant que diacre de « l’évêque » d’Alexandrie au premier concile œcuménique de Nicée en 325. Il y a défendu de toute sa force l’enseignement développé à Nicée contre la fausse doctrine arienne. Le 1er concile œcuménique, le Concile de Nicée (I) de 325 , a (entre autres) statué contre la fausse doctrine d’Arius. On y a étudié et reconnu les rapports entre Jésus-Christ le Fils de Dieu et Dieu le Père ➡Divinité de Christ. ➡Symbole de Nicée. Mais, rien sur le Canon Biblique. Remarque : On y a rejeté, malheureusement de manière dogmatique le shabbat, le calendrier biblique, les 7 Fêtes de l’Eternel… Changement de la date de la Pâque. La Pâque de l’Eternel (devient Pâques « chrétienne) est n’est plus célébré le 14 du mois biblique de Nissan. Donc, en tant qu’Evangéliques Messianiques, Nicée n’est vraiment pas une référence pour nous. Nous nous intéressons plus à la période avant-Nicée.

Constantin a convoqué le concile de Nicée, mais il n’ y était pas question du Canon des Écritures

« Il est très important de clarifier exactement le rôle que l’empereur Constantin a joué dans le concile de Nicée… Constantin a convoqué le concile de Nicée – le premier concile général de l’église chrétienne, 325 après J.-C. – principalement parce qu’il craignait que les conflits au sein de l’église ne causent des désordres au sein de l’empire. La dispute à l’esprit était l’arianisme, qui était la croyance que Jésus était un être créé… En ce qui concerne les manuscrits qui ont été brûlés sur l’ordre de Constantin, il n’y a vraiment aucune mention d’une telle chose qui se passe réellement sur l’ordre de Constantin ou au concile de NicéeConstantin et le concile de Nicée, d’ailleurs, n’avaient pratiquement rien à voir avec la formation du canon. Cela n’a même pas été discuté à Nicée. Le concile qui reconnut et confirma une décision incontestée sur le canon eut lieu à Carthage en 397, soixante ans après la mort de Constantin. Cependant, bien avant Constantin, 21 livres ont été reconnus par tous les chrétiens (les 4 Évangiles, Actes, 13 Paul, 1 Pierre, 1 Jean, Apocalypse). Il y avait 10 livres contestés (Hébreux, Jacques, 2 Pierre, 2-3 Jean, Jude, Ps-Barnabé, Hermas, Didachè, Évangile des Hébreux) et plusieurs qui étaient presque tous considérés comme hérétiques – Évangiles de Pierre, Thomas, Matthaïas, Actes d’André, Jean, etc… » (gotquestions.org). Hébreux, Jacques, 2 Pierre, 2-3 Jean, Jude y ont enfin et tout simplement eu leur reconnaissance universelle.  

Ce sont donc des faux docteurs, des personnes manipulées et des groupes fallacieux qui répandent un poison mortel sur le Canon Biblique

« Les érudits libéraux et les auteurs de fiction aiment prétendre que les évangiles de Thomas et de Pierre (et d’autres livres longtemps contestés) contiennent des vérités que l’église a piétinées avec véhémence, mais qui n’ont tout simplement aucun fondement historique. Il est plus proche de la vérité de dire qu’aucun théologien sérieux ne se souciait vraiment de ces livres parce qu’ils ont manifestement été écrits par des gens mentant sur la paternité et avaient peu de fondement dans la réalité. C’est l’une des raisons pour lesquelles un concile déclarant le canon était si tardif (397 après JC), parce que les livres auxquels on faisait confiance et ceux qui avaient été transmis étaient déjà largement connus » (gotquestions.org).

Ces mythes et légendes d'origine populaire ou alimentés par des pseudo-scientifiques, sont totalement détricotés, déconstruits, défaits...

En effet, le choix des livres canoniques a été, sans équivoque pour les personnes nées de nouveau, le CHOIX DE L’ESPRIT SAINT. 

Gardez-vous des faux apôtres, des faux prophètes, des faux docteurs…

« Nous lisons qu’il y en avait beaucoup qui prétendaient être des apôtres inspirés, mais qui étaient en fait de faux apôtres, même au premier siècle. Paul fait allusion à ces fausses affirmations dans 2 Corinthiens 11:13 ; 1 Timothée 4:7 ; 2 Timothée 4:4 ; Tite 1:13-14... Nous lisons qu’il y avait beaucoup de choses enseignées au premier siècle par de faux enseignants et de faux prophètes. Mais de grands problèmes se profilaient à l’horizon. Dès l’an 140, une personne nommée Marcion a tenté de vider de sa substance le canon reconnu sur le Nouveau Testament. D’un plus grand impact, en 303 après JC, l’empereur Dioclétien a appelé à la destruction de tous les livres sacrés des chrétiens .Ces écrits que les chrétiens sont morts pour protéger sont énumérés dans les documents historiques des troisième et quatrième siècles comme les mêmes écrits que nous avons aujourd’hui dans nos Nouveaux Testaments » (wpbcc).

Principes et conclusions:

  • La régénération (la nouvelle naissance) est essentielle à la reconnaissance du Canon. Biblique.
  • L’homme reconnaît le canon, mais ne le détermine pas.
  • Les vraies brebis connaissent la voix du Berger dans les 66 Livres inspirés canoniques ; et ils rejettent la voix des étrangers spirituels des apocryphes.
  • Il n’ y a aucune pièces manquante au Canon.
  • La canonicité est la Marque Divine des Saintes Écritures.
  • La canonicité vient de L’Esprit Saint et l’adoption du Canon se fait par la Véritable l’Église - l'Assemblé des premiers-nés inscrits dans les cieux (Hébreux 12 :23).
  • Le Canon a été établi selon la Souveraineté de Dieu.
  • Le Canon est complet et fermé depuis l’Epoque Apostolique.  

Michel Silva Andrade

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