UN CHRETIEN (MESSIANIQUE) PEUT-IL CELEBRER NOEL ?
Rappel : Ces écrits ont pour objectifs d’informer, de rétablir la Vérité Historique et Biblique
NON pas de culpabiliser, de harceler, de marteler, de manipuler, d’accuser ou de condamner. C’EST UNE MANIFESTATION DE L’AMOUR DE LA VERITE (Zacharie 8 :19 ; 2Thessaloniciens 2 :10). Nous disons la Vérité dans l’Amour. Nous ne suggérons SURTOUT PAS que ceux qui célèbrent encore Noël (et qui le font vraiment pour le SEIGNEUR – Romains 14 ; Colossiens 2 :16), ne sont pas chrétiens, ne sont pas sauvés, sont des hérétiques ou des infidèles…NON. Notre approche n’est NI SECTAIRE, NI LEGALISTE. Seul Dieu sonde les reins et les cœurs (Psaume 7 :9 ; Jérémie 11 :20 ; 17 :10). Nous ne faisons pas de procès d’intention. Mais la Lumière de la Vérité doit croitre sur le sentier du juste, du consacré à YHVH-(L’ETERNEL). Ce chemin est la Droiture (Proverbes 4 :18 ; Esaïe 26 :7). LE SAINT-ESPRIT NOUS CONDUIT DANS TOUTE LA VERITE (Jean 16 :13)
Lévitique 23 nous présente les Sept Fêtes instituées par YHVH (L’ETERNEL), Noël n’en fait certainement pas partie
Le Shabbat (le repos hebdomadaire) étant le pivot central de ces Fêtes. Ces sept Fêtes de l’ETERNEL avaient lieu au cours de trois périodes différentes de l'année (mars - avril ; mai - juin ; septembre - octobre). Pâque, Pains sans levain, Prémices, Pentecôte, Trompettes, Expiation, Tabernacles. Les seules "fêtes" dans les Ecrits Apostolique ou Ecritures Messianiques en Grec (« Nouveau Testament ») instituées par Jésus sont le Baptême et la Sainte Cène. Et ceux-ci sont entièrement basés et liés aux Sept Fêtes de l’ETERNEL et sur les ablutions judaïques. Encore une fois, Noël n’en fait certainement pas partie. En plus des 7 Fêtes de L’ETERNEL, les Juifs, les Messianiques, les Judéo-chrétiens…. Célèbrent Pourim, Hanoukka… Fêtes qui ont un rapport intime avec Israël, le Peuple Choisi.
La problématique de Noël : Est-il correct de dire que Noël est d'origine païenne ?
Malgré la vieille définition du dictionnaire où il est dit que le mot Noël vient du latin natalis, naissance, le mot « Noël » vient en faite des mots celtes « noio » et « hel » signifiant la renaissance du soleil. En gaulois Noël signifie nouveau soleil. Noël se dit en portugais natal et en italien natale, du latin jour de naissance. On pense de manière erronée que Noël est l’anniversaire et la célébration de la naissance de Christ. Noël est célébré par beaucoup de protestants et l’église catholique romaine le 25 Décembre. Les églises orthodoxes orientales célèbrent Noël le 6 Janvier. L`église arménienne le 19 Janvier. Noël n’est pas une fête évangélique (biblique).
L’histoire nous apprend que les célébrations de décembre sont très anciennes et remontent à bien avant la Naissance du Christ
Il y a bien plusieurs siècles qu'elles ont commencées. Les origines des festivités de décembre se trouvent très profondément ancrées dans les coutumes, le folklore et les traditions des druides (prêtres celtes de Gaule, de Bretagne, d’Irlande) des scandinaves, des romains et des égyptiens... Depuis les temps anciens, il y a eu des célébrations à cette période de l'armée où les « jours deviennent plus longs et la température plus froide ». On disait que « la lumière réveille la terre et que de nouveaux espoirs se lèvent dans les cœurs refroidis ». C'est le SOLSTICE D'HIVER. Le Soleil, parent de la fertilité, recommence à se lever avec une nouvelle vigueur et une puissance nouvelle après avoir été à son « point le plus bas dans le ciel ». Durant l'âge d’or de Rome, les SATURNALES annonçaient le retour de l’espoir. Les romains honoraient le dieu Saturne par cette fête qui s’étendait du 17 au 24 décembre. Le 22 décembre, Rome fêtait aussi « Brumalia », l’anniversaire du Soleil invincible. Les Perses célébraient eux aussi le dieu – soleil Mithra. Les peuples nordiques accordaient une grande importance au solstice d'hiver et au retour du soleil. Noël est donc intimement lié aux saturnales (« saturnalia ») et autres fêtes en l’honneur du dieu Saturne
Ce sont des fêtes de la Rome antique célébrées au solstice d'hiver en l'honneur de Saturne
Saturne est bien cette ancienne divinité, dieu de l'agriculture et de la moisson, de la semence et de l'abondance. Pendant ces festivités, allant du 17 au 24 décembre, il régnait alors les plus grandes licences (libertés excessives tendant au dérèglement moral) et les plus grandes débauches. Du sang de taureau était répandu partout. Les écoles étaient fermées. Les maisons et les temples étaient décorés. Des bougies étaient allumées. La réjouissance et la débauche régnaient et on offrait des cadeaux. Les « BRUMALIA » et les « JUVENALIA » (fêtes de l'enfance et de la jeunesse) étaient ajoutées aux saturnales dans le but d’avoir de grandes célébrations continuelles. N’oublions pas les calendes de janvier. Fêtes du nouvel an romain, allant du 1er au 3 janvier. Les Calendes étaient les premiers jours du mois chez les romains. C’est de là que vient le mot « calendrier ».
SATURNALES+ANNIVERSAIRE DU SOLEIL+CALENDES = FESTIVAL CONTINUEL
A part Hanoukka , les autres fêtes du milieu de l’hiver sont aussi toutes d’inspiration païenne
En Europe du nord, on célébrait la fête des bûches (Yule festival). Des symboles qui avaient un rapport avec le culte du soleil. Elles étaient brûlées en hommages au « père tout-puissant » Odin (nom scandinave du dieu germanique Wotan). Odin (un ancêtre du père Noël) récompensait ou punissait les enfants selon leur comportement. La Sainte Lucie annonçait donc le retour du soleil. La Croyance était que cette date donnait le pouvoir de briser les malédictions de l’hiver et d’annoncer aux démons que leurs puissances ont été anéanties et que le soleil retournera bientôt.En Grande Bretagne comme en Scandinavie on célébrait Yule ou Yol. La fête des bûches. Les anciens craignaient de voir le soleil qu'ils adoraient se faire tuer par les forces des ténèbres. Ils offraient donc des sacrifices pour le retour du soleil (vers le 31 Octobre, Halloween).
Le 21 décembre, les jours redeviennent plus longs. Les celtes croyaient que c'était parce que leurs sacrifices étaient acceptés à Halloween (all hallows eve, veille de la Toussaint)
Les peuples germaniques primitifs craignaient et détestaient les hivers glaciaux. Ils croyaient que les mauvais esprits se promenaient pendant les jours sombres et les longues nuits pour essayer de tuer les êtres vivants. Les plantes semblaient mourir. Mais les arbres à feuilles persistantes (sapins…) continuaient à vivre. D’où la croyance que là où se trouvent ces arbres les esprits n'accèdent pas. Ils emportaient alors les branches de ces arbres chez eux.
Conclusion : La plupart des gens célèbrent Noël par ignorance ou par tradition
Certains essayent donc de donner un sens nouveau chrétien à Noël. Malheureusement d’autres célèbrent Noël plus par amour pour la famille et la tradition que pour Dieu. Rappelons-le : mot « Noël » vient du mot celte « noio » et « hel » qui signifie la renaissance du soleil.
Les grandes questions qu’il faut se poser sont : Un chrétien peut-il célébrer la renaissance du soleil ? Un chrétien peut-il célébrer le dieu - soleil ? Un chrétien peut-il célébrer Mithra ?
Nous ne condamnons pas ceux qui malgré ces faits bien établis continuent à célébrer Noël par ignorance – la majorité – ou en donnant un nouveau sens à cette célébration. Noël est sans équivoque d’origine païenne. Reposons la question : « Un chrétien peut-il célébrer Noël ? ». Dans ce cas précis, c’est la loi de la liberté qui s’impose. Que chacun examine les choses à la lumière de la Parole de Dieu et des faits historiques. C’est à chacun de répondre à cette question selon sa conscience, selon la lumière qu’il a reçu et selon son intimité avec Dieu (Romains 14).
Mais, finalement, certains n'aiment-ils pas ces fêtes plus qu'ils n'aiment Dieu ?
ON EST BIEN TENTES DE LAISSER CETTE FETES AUX PAIENS. CAR SON ASPECT PAIEN, TEL QUE NOEL EST CELEBRE PAR LE MONDE, EST REPULSIF.
QUELS SONT NOS MOTIFS? QUI EST LE CENTRE ET LA RAISON DE CETTE FETE? SANS JUGER LES MOTIVATIONS ET LES INTENTIONS DE QUI QUE CE SOIT ET SANS CONDAMNER PERSONNE, IL EST CERTAIN QUE L’ETERNEL N’APPROUVE PAS CETTE FETE.